<♣ Emily M. Davis ♣
♦ I'm a dirty free for all ♫
| ● Avatar Crédit © : Zephira ● Ma célébrité : Taylor Momsen ● Messages : 26 ● Ta Nationalité : Américaine ● Ton côté coeur : ... ● Ton métier : Future chanteuse
●●●●● WHO ARE YOU ? ●●●●● ● L'âge de ton perso: 20 ans ● Ta passion: Le chant et l'écriture ● Your Relationship'z:
| Sujet: Emily M. Davis ♦ I could really use a wish right now [Finish] Mar 24 Aoû - 3:38 | |
| EMILY may DAVIS age : 20 ans nationalité(s) : Américaine ton groupe : [ ] the stars, [ ] sigma upsilon, [ ] iota zeta, [X] lambda psi, [ ] sigma upsilon, [ ] bêta gamma, [ ] delta kappa, [ ] people from business, [ ] the cops & THE NEXT | Zephira Histoire avant d'arriver à l'université : The faces all around me they don't smile they just crack ♪La petite Davis naquit un 28 mai 1990 dans la grande ville de New York aux petites heures du matin. Elle est comme on dit un «enfant miracle» ou «enfant de la seconde chance», puisqu’elle ne respirait pas lorsqu’elle sortit du ventre de sa mère, Emily. Elle faillit périr entre les bras des médecins, mais après plusieurs minutes d’angoisse, elle cria enfin, mettant fin à l’attente insoutenable. Cependant, ce qui fut un premier souffle de vie pour le petit ange, fut malheureusement le dernier soupir pour sa mère qui mourut quelques instants après des suites des complications de l’accouchement. Malgré ce qui c’était passé, son père, l’aima aussitôt. Pour lui, l’enfant n’était pas la cause de la mort de sa femme. En son honneur, James nomma sa fille Emily pour qu’elle garde à jamais un souvenir de sa tendre épouse. Il décida aussi que son deuxième prénom soit «mai», c'est-à-dire le mois de sa naissance. Il fit en sorte que Milly ne manque de rien durant son enfance, essayant tant bien que mal de l’élever malgré l’absence d’une présence féminine. Cependant, après quelques années, même si James aimait sa fille plus que tout au monde- il ne lui restait plus qu’elle, il ne pouvait s’empêcher de penser à sa femme à chaque fois qu’il posait son regard sur elle. C’était de plus en plus difficile à mesure qu’elle grandissait. Il ne voulait pas le montrer à Milly, mais la petite fille maintenant âgée de six ans commençait à sentir un fossé s’installer entre eux et cela la rendait triste. Bien entendu, James ne pouvait passer toute sa vie à se remémorer le passé et tomba amoureux d’une femme riche à craquer qui était extrêmement influente dans le milieu des arts à New York et ailleurs aux États-Unis. Son père croyait qu’une présence féminine allait combler de joie sa fille, mais ce fut le contraire. Lilly ne pouvait supporter cette femme qui se croyait supérieur à tout le monde et qui ne la voyait que comme un fardeau. Elle voulait avoir sa vraie mère avec elle, mais savait bien sur que c’était impossible. Cette femme qui se nommait Amanda Lewis ne remplacerait jamais celle qui l’avait mis au monde et qu’elle n’avait jamais eu la chance de connaître. Elle aurait aussi aimé avoir un véritable frère de sang, pas ce garçon qui s’appelait Adrian. Il n’avait qu’une année de plus qu’Emily et la petite ne l’aimait pas non plus. Cependant, elle dut faire avec tout au long de sa petite enfance, malgré le fait qu’elle sentait de plus en plus que sa présence n’était plus aussi ardemment souhaitée qu’au tout début. Comme son père ne s’occupait plus d’elle, trop occupé à se changer les idées, Emily, maintenant âgée de douze ans, ne savait plus vers qui se tourner pour avoir de l’attention sinon vers son demi-frère, Adrian. Ce dernier, autant alcolo que drogué, même à ce bas-âge, lui montra l’envers de la médaille d’être la belle-fille d’une personne riche et célèbre. Influençable, la jeune fille commença à fumer de l’herbe et ensuite à s’intéresser aux drogues plus dures. Elle séchait les cours, était arrogante avec toute forme d’autorité. Elle devint colérique et froide comme la pierre. Le petit ange de mai avait disparu et ce, dans le vice de la ville de New York. Embêté par ce changement brusque d’attitude, son père décida qu’il était temps que sa fille change d’air. Il l’envoya donc à Miami, dans une résidence tous frais payés par son hypocrite de belle-mère et surtout, loin de l’influence de son demi-frère. Cependant, ce changement ne fit qu’empirer les choses pour tout le monde. Sentant que son père l’avait abandonné à son destin, la jeune fille se forgea un mur presque infranchissable autour d’elle. Elle ne laissait que peu de personne y entrer et ils devaient y avoir mérités leur place. Malgré tous les fiascos, elle finit par atterrir à l’université. Sa belle-mère, voulant se débarrasser définitivement d’elle, l’envoya à l’université de Miami dans le programme de son choix; le chant. Quand on a de l’imagination comme Lilly, quoi de mieux que d’exprimer son talent à travers la musique. C’est maintenant à l’âge de 20 ans, fêtarde, droguée et alcolo, que Emily se trouve à vouloir découvrir qui elle est vraiment et grandir autant psychologique que physiquement. |
| Zephira Histoire après ton arrivée ici et/ou à Miami : So give me something to believe, Cause I am living just to breathe ♪Quelques temps après sa venue à l’université, Emily apprit que son père avait demandé en mariage Amanda. Elle allait être sa belle-mère de façon officielle et la jeune femme savait pertinemment qu’elle ne pourrait revoir son père que très rarement dans les années à venir. Amanda avait gagné et Emily, perdue. Se sentant détruite par la nouvelle, elle se mit à croire que si elle n’était jamais venue au monde, sa mère serait en vie et cette chipie ne serait pas avec son père. Elle commença à avoir des idées suicidaires et par ce fait, commença à se mutiler. Dans les poèmes qu’elle écrivait, sa détresse transparaissait grandement, mais elle ne laissait personne entrer dans son monde chaotique, cachant ses sentiments sombres à tous. Au fil du temps, les blessures ne s’étaient toujours pas cicatrisées et cela n’allait qu’en empirant. Elle n’avait plus aucun soutien et était laissée à elle à l’université. Elle essayait pourtant de réussir pour faire au moins honneur à sa mère biologique, mais quelques fois, c’était trop dur. Le pire fut lorsqu’elle apprit qu’Adrian venait à son école. Il s’était inscrit en arts dramatiques. Elle essaya souvent de l’éviter, mais il était tout simplement omniprésent dans sa vie. Elle ne se débarrasserait pas aussi facilement de lui, sangsue qu’il était. Un beau jour, la jeune femme apprit le meurtre qui eut lieu à l’université. Une fille avait été tuée et une autre gravement perturbée. Cet évènement l’amena à découvrir la cruauté dont pouvait faire preuve les humains. Ce fut aussi à ce moment qu’elle se mit à côtoyer des gens, mais simplement dans le but de les utiliser pour se protéger de l’éventuel tueur qui était encore entre les murs de l’université. Elle sent que les autres ont peur, mais elle, essaie de se convaincre qu’il n’y a rien à craindre. Des fois, elle se laisse aller au danger et se promène seule la nuit, dans l’espoir de peut-être apercevoir le tueur… Elle sait qu’elle joue à un jeu dangereux, mais ne peut s’en empêcher… |
| Zephira Ton caractère : You wanted a piece of me? ♪ Par où commencer? Il faut savoir impérativement qu’Emily a un caractère qui laisse bien des gens perplexes dû à sa grande complexité. Tantôt joyeuse comme il n’est pas possible, tantôt triste ou colérique comme jamais, il est évident qu’on peut dire qu’elle est d’humeur souvent changeante. Lorsqu’elle était enfant, la jeune femme était un véritable ange. Elle était tellement calme qu’on pouvait la mettre dans un coin avec quelques jouets et on ne l’entendait jamais. Cependant, lorsque son père s’est remarié, son caractère a changé de façon drastique. Elle a commencé à se mutiler et boit comme un trou. Elle a longtemps été influencée par son demi-frère, Adrian et maintenant qu’il est de nouveau dans le décor, ça ne risque pas de changer pour le mieux. Malgré l’image de femme forte qu’elle montre à tous, elle n’a que très peu confiance en elle. Elle a sur la conscience la mort de sa mère et la tristesse de voir son père s’éloigner de plus en plus d’elle. Elle est triste et comme morte de l’intérieur dû aux épreuves qu’elle a traversé. Elle veut malgré tout se sentir aimer pour ce qu’elle est. Et lorsqu’on a enfin traversé sa carapace, elle peut être une fille gentille et fidèle en amitié. Il faut juste s'en laisser la chance. |
& YOU ARE ? PSEUDO/PRENOM : Zephira TON AGE : 20 ans T'ES QUI ? : [X] fille, [ ] garçon, [ ] un ovni *.* OU AS TU CONNU LE FORUM ? : Par l'administrateur Damon qui joue Fabio sur New York City Life CODE DU RÈGLEMENT : - Spoiler:
A dream is a wish EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
Les secondes s’écoulèrent comme si des années passaient tandis que Sasha attendait désespérément la réponse du jeune homme en face d’elle. Il la regardait et elle aussi. Il ne savait pas quoi dire et la jeune femme non plus. Le silence était pesant, difficile à supporter et c’était le cas pour chacun des deux clans. L’attente semblait interminable. La jeune blonde ne pensait plus à rien, et elle voulait croire tout ce que Fabio avait à lui dire. Elle avait effacé de sa mémoire tous les scénarios aussi farfelues les uns que les autres qui avaient émergé quelques instants plus tôt. Plusieurs étaient sans queue ni tête, mais évidemment, ils n’étaient rien à côté de ce que le jeune homme allait lui révéler.
Enfin, il s’approcha d’elle, osa faire un mouvement dans sa direction. Même si elle n’avait pas peur de lui, elle tressaillit un peu lorsqu’il caressa sa joue, peut-être dans l’espoir de la rassurer un peu, mais son regard était grave. Elle s’attendait maintenant à quelque chose qui ne lui ferait pas plaisir du tout.
« Tu as toujours eut le sentiment que je ne te disais pas tout sur moi, et c'est vrai. Tu sais, si je ne t'ai rien dit à mon sujet, c'est que ce secret est assez dur à porter… les personnes qui le savent s'éloignent de moi… », dit-il enfin.
Et il avait parfaitement raison. Elle ne connaissait pas grand chose sur lui et elle le réalisait en ce temps de crise. Elle ne connaissait rien de ses problèmes, de sa famille. Il ne lui avait révélé que des choses banales qui n’allaient pas en profondeur. Elle ne s’en était jamais soucié vraiment, puisqu’elle avait confiance en lui. Cependant, elle ne savait plus si elle pouvait encore lui faire confiance. Mais, qu’est-ce que c’était, bon sens, pour que ce soit si grave que cela, que tous s’éloignaient de lui? Toute cette situation était d’une étrangeté monstre! Et pourquoi il baissait aussi tristement la tête?
* Il parle presque comme s’il avait commis un meurtre? *
Et pour une fois, Sasha était assez près de la réalité. Elle sut enfin la vérité sur son ami et cela lui donna l’effet d’une gifle, même si au début, il était très difficile de le croire. La mafia? C’était n’importe quoi, mais elle savait au plus profond d’elle qu’il ne lui mentait pas. On ne pouvait pas faire de blagues sur un sujet aussi sérieux que celui-là. C’était tout bonnement impossible. Elle ne retint que quelques mots de ce qu’il racontait, les plus importants. «Je suis payé pour tuer des gens que je ne connais même pas la plupart du temps. Je fais des veuves et des orphelins…» . Comment pouvait-on osé faire cela? Tuer des gens? Comment pouvait-il avoir ça sur la conscience? Sasha n’avait jamais rien tué, mais elle avait presque écrasé un jour, un chat sur la route. Elle s’en aurait tellement voulu, alors elle ne pouvait même pas s’imaginer tuer quelqu’un.
Maintenant, elle voyait de façon très différente son ami. C’était un… monstre? C’était le seul mot qui permettait de le nommer et surtout, le plus juste qui le désignait. Elle qui le trouvait doux, mystérieux, magnifique, merveilleux, elle n’avait plus que ce terme en tête. Aucun mot ne sortait de la bouche de la jeune femme, ni aucune expression sur son visage. Elle n’exprimait rien. L’ouragan ne se passait que dans sa tête.
Cela voulait-il dire aussi que vu qu’elle connaissait son secret, elle devait mourir? Elle savait que personne ne devait connaître la véritable identité des tueurs à gage, puisqu’on pourrait révélé leur identité à la police et il était évident qu’ils ne voulaient surtout pas cela. Elle ne savait pas ce que Fabio allait faire d’elle, mais aussi bizarre que cela pouvait paraître, elle n’avait toujours pas peur. Elle n’avait pas peur de la mort et elle ne s’enfuirait pas. C’était inutile et elle était parfaitement consciente. On ne pouvait pas fuir des gens aussi expérimentés.
«Je suis venu aux États-Unis pour retrouver une jeune femme que ma famille veut liquider… C'est moi le meilleur tueur à gages et je peux te dire que je suis généralement sans pitié… mais je ne tue que les personnes qu'on me dit de tuer… »
Ensuite, une autre pensée lui traversa l’esprit lorsqu’il lui révéla pourquoi il était à New York, si loin de l’Italie ce qui supplanta l’autre idée. Peut-être l’avait-il utilisé pour trouver sa proie? Ou qu’elle n’était qu’un passe-temps à ses yeux et qu’il se serait débarrassé d’elle de toute façon après sa mission si elle n’avait pas eu conscience de toutes ses informations.
- Mais maintenant que je connais ton secret, je suis une femme morte, c’est ça? Tu vas me tuer comme dans les films, là, sans que je ne puisse rien y faire, si je décide de m’en aller? Et elle le disait sans émotions, rien comme si elle était une carcasse vide. Et si je n’avais rien su, lorsque tu aurais remplie ta mission, tu serais parti sans rien dire en Italie, m’ignorant complètement? Je suis un passe-temps pour toi?
« Si tu ne voulais plus m'adresser la parole, je le comprendrais tu sais… si tu le souhaite, je peux te ramener…»
Il n’avait peur que de cela? Qu’elle ne lui parle plus? Il n’avait pas peur qu’elle parte et révèle tout à autrui? Il ne la regarda plus, elle non plus. Pendant une pause de ses pensées, elle eut soudain conscience qu’elle avait froid. Elle ne voulait quand même pas mourir gelée avant de mourir d’une balle dans la tête! Elle passa encore devant Fabio sans rien dire, remis le reste de ses vêtements un peu plus loin. Elle n’osait plus le regarder, plus se retourner pour voir son regard.
Il fallait qu’elle réfléchisse, qu’elle y pense. C’était beaucoup trop d’informations à digérer en même temps. Cependant, Sasha était une fille forte, mais saurait-elle être assez forte pour accepter tout cela? Elle avait besoin qu’il lui dise qu’elle n’avait rien à craindre, que cela ne la concernait pas. Elle savait qu’au plus profond d’elle, malgré tout ça, les sentiments tendres qu’elle avait éprouvé envers lui étaient toujours là. Elle l’aimait toujours plus qu’un simple ami. Cependant, peut-être que si elle avait justement un lien plus faible avec le jeune homme, elle se serait sûrement enfuie en courant, malgré les risques. Elle avait préféré écouter ses explications. Il tenait quand même assez à elle pour lui avoir dit la vérité. Il aurait pu inventer un scénario et lui mentir. Il aurait pu dire n’importe quoi et peut-être, Sasha l’aurait cru ou aurait voulu le croire. Aussi, s’il avait voulu la tuer, il l’aurait déjà fait. On ne révèle pas des informations comme ça, si on a pas confiance en l’autre, quand on peut tout aussi bien raconter un mensonge qui aurait pu être de bien moindre importance.
Non, Sasha ne savait pas quoi faire ni quoi dire. Elle voulait s’éloigner, mais ne le pouvait pas en même temps. Les sentiments qui s’étaient développés dans son cœur ne voulaient pas qu’elle utilise sa tête d’une bonne façon. Ce n’était pas raisonnable d’être encore là, de ne pas s’enfuir. Pourquoi ne pouvait-elle pas le repousser? Elle trouvait qu’il était un monstre, mais elle était quand même en train de tomber amoureuse… Après tout, peut-être que c’était elle le monstre, d’essayer d’accepter cela? De vouloir quand même de lui, encore un peu.
- Je ne sais pas quoi dire. C’est beaucoup trop. Je le savait que ce n’était pas une bonne journée pour moi! Dans le fond, peut-être que ce n’est qu’un cauchemar? Je vais sûrement me réveiller bientôt avec toi à mes côtés. Tu ne seras pas un mafioso, oui! C’est cela.
Et ses pieds suivirent enfin ses ordres. Elle bougea, se retourna, passa à côté de lui, l’ignora. Elle traversa rapidement la portes, ensuite, les couloirs et après ce fut la porte d’entrée. Mais arrivé de l’autre côté de la maison, son corps s’arrêta de fonctionner. Elle ne put que s’asseoir sur les marches. Elle ne pouvait faire un pas de plus. Elle ne se sentait tout bonnement pas bien. Tout son corps voulait retourner auprès de lui, mais son esprit lui disait non. Elle avait le tournis à force de penser. Elle avait besoin de lui, ne pouvait s’empêcher de commencer à l’aimer encore plus. Elle ferma les yeux et se pinça. Elle n’était pas dans un cauchemar, c’était la réalité…
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